Nabot des Cendres a coneries a gogo fanfic !!

Bein , j'ai trouvées cete fic MDR !! donc j'la met , y'a aussi le petit chaperon rouge , j'la mettrai plus tard MDR !!

Disclaimer : Pas à moi mais à Hiromu Arakawa et le thème de a fic, elle, revient exclusivement à Monsieur Disney !
Pairing : RoyEd
Et oui, me revoici avec un nouveau conte parodié ! J’espère que vous l’apprécierez
Je tenais à remercier toutes les petits messages gentils que je reçois à propos de la fic FMA : Another story… Another destiny !, je suis très touchée et en réponse à une demande, le chapitre 10 s’écrit petit à petit, très lentement. En fait, tout aussi bizarre que cela puisse paraître, sa rédaction m’aide à allez mieux ! Il est tellement empli de tristesse : je crois que ça me permet de me vider de certaines choses dont je n’ai jamais pleuré ou bien trop peu. Bref, je ne suis pas là pour déballer ma vie mais pour vous donner ce petit conte que j’ai pris énormément de plaisir à parodier !
Je vous présente donc :

Le Nabot des Cendres !
Edward : QUI DIS-TU QU’IL EST TELLEMENT PETIT QUE S’IL ETAIT A COTE D’UNE CENDRE ON LE VERRAIT PAS PARCE QUE LA CENDRE EST TELLEMENT PLUS GRANDE QUE LUI QU’IL PARAIT INSIGIFIANT A COTE D’ELLE ???
Saphir : Alors ça, c’est ce que j’appelle du répondant ! Oo
Edward : Merci, j’ai pensé que les phrases plus longues amuseraient beaucoup mieux !
Saphir : Quand même… Point de vue souffle, ça doit être assez pénible, non ?
Edward : Tout est une question d’habitude ! UU

Il était une fois, dans le doux royaume d’Amestris, vivait un couple heureux. Leur amour, si parfait, donna naissance a deux merveilleux enfants : Edward et Alphonse Elric. Edward possédait de doux yeux d’or et des cheveux de la même couleur alors qu’Alphonse possédait des cheveux plus foncés et des yeux d’un or-gris. Cependant, toute bonne chose à une fin et, fidèle à lui-même, Van Hohenheim Elric se cassa à la vitesse de la lumière alors qu’Alphonse n’avait encore que quelques mois !
Edward : Pourquoi ce bâtard est toujours mon père dans leurs foutus contes ?
Saphir : Ben… Peut-être parce qu’il l’est en vrai !
Edward : Je t’INTERDIS de traiter ce bâtard comme mon père !
Saphir : Susceptibilité, quand tu nous tiens TT
Alphonse : Nii-san est impossible ! TT
Six ans plus tard, Trisha Elric, constatant que sa seule maigre fortune ne suffirait pas à prodiguer un avenir radieux à ses deux merveilleux fils, décida de se remarié avec grande peine, sachant que son mari ne reviendrait plus jamais. Elle se remaria à un vieux Général de l’armée d’Amestris, Hakuro, qui possédait deux filles : Riza et Winry. Ces deux filles, charmantes en présence de leurs parents, se révélaient être de véritables pestes lorsque ceux-ci avaient le dos tourné et particulièrement en présence d’Edward et Alphonse dont elles jalousaient leur beauté précoce. Ed et Al, de leurs côtés, voyaient que leur mère ne souriait véritablement que lorsqu’ils prodiguaient de l’Alchimie devant elle. Réjouis, ils se mirent à fond à étudier cette merveilleuse science magique qui redonnait le bonheur à leur tendre mère sans savoir qu’en vérité, cela ne faisait que la tuer petit à petit, lui rappelant beaucoup trop son mari qu’elle aimait tant. Ils ne le comprirent que, lorsque cinq années plus tard, elle rendit son dernier souffle, priant Edward de lui transmuter un petit bouquet de fleurs, chose que son cher Hohenheim transmutait souvent lorsqu’il était encore là.

Edward : …
Alphonse :…
Saphir : Hey… C’est le script de l’histoire ! Me regardez pas ainsi, c’est Envy qui l’a écrit ! OO
Envy : Muahahahaha !
Greed : Je VEUX que Saphir reprenne la rédaction du script !
Envy : Pas question !
Kimbley : Peut-être que ceci te rafraichira la mémoire (claque des mains et explose le palmier ambulant) Alors ?
Envy : Ca va, ça va ! Je vous le rends ce script de mes deux ! TT
Saphir : Puisque mon script est si merdique, je te promets de te donner le pire des rôles !
Envy : … Merde….

Bref, Après la mort de leur mère, Edward et Alphonse se firent traiter comme de véritables chiens de la part de leur belle-famille ! Hakuro les obligea à se revêtir de haillons et à loger dans la grange parmi les bêtes. Cependant, Edward, d’un esprit très rebelle, ne cessait de se révolter face à eux et Hakuro, pour lui donner une leçon, fit emmener Alphonse dans la nuit et le vendit dans un marché d’esclave. Anéanti, Edward n’eut d’autre choix que de leur obéir à lui et ses deux horribles filles. Hakuro, pour encore plus l’humilier, l’obligea à se travestir en fille, à laisser ses longs cheveux libres et à dormir dans la suie. Du fait de sa petite taille, il fut dès lors surnommé : le nabot des cendres !

Edward : RAHHHHHH !!!
Roy : Edo, tu vas te faire mal à la gorge à râler comme ça !
Edward : C’est la pire des humiliations de toute ma vie !
Saphir : Rassure-toi…. Il t’arrivera encore pire dans le prochain conte !
Edward : Et c’est censé me rassurer, ça ? TT
Mais comme il faut bien qu’Edward vit ses automails pour la suite du conte, le Edo, il étudia à fond l’Alchimie et tenta de ramener sa mère à la vie, chose qui, comme dans tout bonne histoire sadique de Saphir et même d’Hiromu Arakawa en personne, planta carrément et Edward perdit son bras droit et sa jambe gauche. Bien que Winry jalousait sa beauté, elle prit pitié du blond – ayant perdit elle-même sa mère, première femme d’Hakuro – et lui plaça des automails sans que son père et sa sœur ne le sache, ayant pris soin de faire croire qu’elle avait emmené le blond dans une maison de correction pour mauvais serviteurs durant un an – ce qu’ils gobèrent comme des mouches, parce que premièrement, ils sont idiots, deuxièmement, je suis l’auteur et troisièmement, c’est MA version de Cendrillon.

Edward : Pourquoi ai-je l’impression que je vais avoir l’air tout autant ridicule que dans les autres parodies ? TT
Saphir : Peut-être est-ce simplement du au fait que c’est moi qui ait rédigé le script ? XD
Edward : Y a de ça, aussi… TT

Les années passèrent et notre beau blondinet devint encore plus beau. Oui, je sais, la formulation est étrange et… Edward, Roy, je vous INTERDIS de rire ! ENFIN BREF ! Désormais, Edward, âgé maintenant de dix-huit ans, possédait de longs cheveux dorés attaché en queue de cheval et ses yeux d’or brillaient encore plus intensément qu’auparavant. Son corps, svelte et finement musclé, arborait une teinte caramélisée du à tous les travaux qu’Hakuro lui avait fait effectuer sous un brûlant soleil. Ses automails, quant à eux, étaient cachés sous une épaisse couche de haillons et seule Winry, qui les lui avaient placé elle-même, en connaissait l’existence et menaçait Edward de le révéler à son père – qui était Général de l’armée d’Amestris, je vous rappelle, et donc, présentait un GROS danger pour le blondinet – si celui-ci refusait d’obéir à ses moindres caprices. Souvent, lorsqu’il avait du temps libre, Edward se surprenait à rêver d’une vie meilleure, où il n’aurait plus besoin de voir ces trois imbéciles 24h/24 et où il retrouvait Alphonse et vivait, heureux, avec lui jusqu’à la fin de sa vie. Ce genre de songes lui était souvent brutalement enlevé lorsqu’il reconnaissait la voix aigue de Winry qui l’appelait pour un nouveau caprice.
-« EDWARRRRRD !!! » Hurla Winry d’une voix aigué à en briser les tympans.
Alors qu’il pestait contre la jeune femme et lui souhait de toutes ses forces de trouver le prie de maris plus tard – même s’il n’était pas sûr que le pire des maris voudrait d’elle, Edward gravit les escaliers menant à la chambre de la jeune femme. Il y entra, faisant la révérence comme tout bon esclave se devait de faire devant ses maitres.
-« Vous m’avez demandé, mademoiselle Winry ? » Demanda-t-il en plaçant son habituel masque froid sur son visage.
-« Muahahahaha ! Rien, je voulais juste savoir en combien de temps tu allais rappliquer et bravo, tu as battu ton record de douze seconde ! Muahahahaha ! » Rit la blonde d’un rire… atroce pour les oreilles de notre pauvre Edo.

Greed : C’est MOI qui VEUX ici ! C’est clair ?
Kimbley : Interromps encore une fois un conte et je te promets la pire des souffrances !
Greed (d’une voix aguicheuse) : Comme ? Mon Kim-Kim d’amour ?
Kimbley : … Rien, laisse tomber TT

Edward retourna donc à ses tâches, pestiférant encore plus envers la mécanicienne et ses lubies débiles ! De l’autre côté de la frontière, à Xing plus précisément, le petit frère d’Edward, Alphonse, avait fini, après bien des péripéties, comme serviteur personnelle du prince héritier. Chance pour lui, le prince était très bon et rapidement, lui, l’autre serviteur personnel appelé Maes Hughes et le prince Roy Mustang étaient rapidement devenus amis. Un jour, Roy et Maes surprirent Alphonse à soupirer tristement…
-« Al ? Pourquoi cet air triste ? » Demanda Roy.
-« Je pensais à mon Nii-san… Il me manque horriblement ! » Soupira mélancoliquement Alphonse
-« Tu ne nous avais jamais dit que tu avais un frère… En fait, si je me rappelle, tu ne nous as jamais parlé de ton passé datant d’avant ton esclavagisme. » Se remémora Maes, songeur.
-« Il s’appelle Edward, il est plus âgé d’un an. Quand on était petits, on vivait heureux avec notre mère à Amestris. Mais tout s’est gâté pour nous le jour où elle s’est remariée au Général Hakuro ! » Répondit Al, en colère.
-« Tu… Tu as bien dit le Général Hakuro ? » Demanda Roy, surpris « Sois chanceux Alphonse ! Le général Hakuro et toute sa famille vienne la semaine prochaine pour conclure la date du mariage ! » Termina-t-il, amèrement.
Et oui ! Notre Roy avait déjà aperçu sa promise et bien qu’il devait admettre qu’elle était très belle… Elle était surtout intéressée pour sa beauté et son titre… Comment toutes les autres ! Bref, Al était heureux ! Il allait enfin revoir son Nii-san après tant d’années !
-« Dis-moi, comment était-il, ton frère ? » Demanda Maes « Je parie qu’il devait être le plus attentionné des grands frères et qu’il… »
-« Oh mais pas du tout ! » Coupa Al « Mon frère était toujours le premier à faire des bêtises et à m’accuser pour ne pas être puni ! Il m’entrainait toujours dans de sales coups et comme j‘étais petit, je ne comprenais pas que ce n’était pas bien ! Même qu’une fois… Il a été voir des filles prendre un bain ! » Reprit Al, son index posé sur son menton, fouillant ses souvenirs les plus profonds.
Tout ça sous les regards ahuris de notre prince et de son ami ! C’est que c’était un cachottier, le petit Edo !

Edward : BORDEL DE MERDEUHHHHH ! Mais c’est quoi ces conneries ! Et… QUI APPELLES-TU UN MICRO CHIBI PLUS PETIT ENCORE QUE LE PLUS PETIT DES MICRO CHIBI DU MONDE ENTIER ???
Saphir : XD
Alphonse : Hé, hé… Nii-san… Avoue que c’est vrai, quand même !
Edward : … Q-quoi ? (Rougit furieusement) Ce n’est pas vrai ! J’ai jamais été voir des filles toutes nues !
Roy : Alors t’as été voir des filles entrain de prendre un bain, hein ?
Edward : C’ETAIT UN ACCIDENT !!!
Maes : Donc, tu avoues !
Edward : ….

Revenons ensuite à Amestris où, il est vrai, la famille Hakuro se préparait à partir pour Xing, afin de conclure le contrat de mariage entre le prince et la fille ainée, Riza.
-« Nabot des cendres ! Vient immédiatement coiffer mes filles ! »
-« Edward ! Bouge tes fesses de là et vient m’aider avec mon corset ! »
-« ED !!! »
-« EDWARRRRD ! Dépêche-toi ! Le bateau part dans deux heures ! Je ne veux pas rater mon mariage avec le magnifique prince Roy de Xing ! »
Edward en avait plein le dos ! Ce fichu mariage, il lui allait au dessus de la tête – autrement dire, pas très haut ! – et il sentait qu’il allait bientôt donner sa démission si ça continuait ainsi ! Quoi ? Comment ça « pourquoi il l’a pas fait plutôt ? », et bien d’abord, parce que, primo, sinon, il y aurait pas d’histoire et puis secundo, j’aime beaucoup agir en véritable sadique avec lui alors je lui ai donné l’impossibilité de savoir écrire pour rédiger sa lettre ! Voilà !

Edward : N’importe quoi… TT
Alphonse : Pour une fois, je suis d’accord toi, Nii-san.
Edward : …. Comment ça « pour une fois » ? Oo
Bon… L’auteur, elle trouve qu’elle en a marre… Non, elle l’affirme : elle en a marre, c’est trop lent ! Alors elle donne un bon coup de pied au cul aux trois idiots – fait l’effort d’être gentillette avec Edo en le téléportant directement sur le bateau – et hop ! Toute la petite famille se retrouve vite fait bien fait en Xing ! Oui, je sais, c’est du n’importe quoi mais bon… Depuis le temps, tout le monde est habitué aux manies bizarre de l’auteur et ne s’étonnent plus de rien ! Pour en revenir à l’histoire, La famille fraichement débarquée, ils s’en allèrent acquérir le nouveau manoir – payé avec l’argent de Trisha sous la rage de son fils qui dut se taire – et une fois installée et, une fois n’étant pas coutume, ils envoyèrent Edo au marché – en prenant soin, cette fois, de lui faire mettre des vêtements pour garçons pour éviter le risque d’un mariage annulé pour cause de bizarrerie chez les serviteurs !
Au marché, il rencontra toutes sortes de gens. Il vit même passé un jeune garçon d’à peu près son âge, poursuivi par une jeune fille en furie qui hurlait : JEUNE MAIIIIITRE !!! Une énorme goutte manga sur l’arrière de la tête, il reprit sa marche entre les différents stands, trouvant les ingrédients les moins chers possibles – il ne voulait pas que tout la fortune de sa mère y passe avant ses vingt et un ans, âge où il sera en mesure de reprendre tout ce qu’il lui appartient ! Tout à coup… Il se figea. Là. Devant lui se trouvait… Mais ce n’était pas possible et pourtant. Malgré les années qui s’étaient écoulées depuis, Edward pouvait toujours le reconnaître : c’était bien lui ! Il sentit les larmes lui monter aux yeux, se mit à courir et se jeta sur….
La copie conforme de son doudou en peluche !
Edward : Mais c’est quoi ce bordel, mille pétards ?
Saphir : Un bordel ? En général, on les trouve plutôt dans les quartiers mal famés !
Edward : NE JOUE PAS SUR LES MOTS AVEC MOI !!!!
Saphir : XD
Greed : Je VEUX voir la fin du conte !
Après s’être payé la honte de sa vie, il coursa le plus qu’il put pour retourner au manoir…. Sans voir la dalle surmontée qui se présentait devant lui ! Dans un BADABOUM assourdissant, notre héro blondinet kawaii se retrouva les quatre fers en l’air !
Edward : JE NE SUIS PAS MIGNON ! ET QUI DIS-TU QU’IL EST TELLEMENT PETIT QU’ON LE CONFONDRAIT AVEC UNE FILLE ???
Saphir : Tiens, tu reviens vite aux veilles formules !
Edward : Tu me fais encore bien plus hurler qu’avant ! Ma voix n’en peut plus !TT
Tout en se massant le crâne, il entendit des gloussements étouffés qu’il reconnut entre mille : ceux qui appartenaient à deux personnes qui lui donnaient un horrible mal de crâne presque tous les jours ! Se demandant ce qu’elles pouvaient bien foutre par ici, notre chibi blondinet kawaii se…
Edward : QUI DIS-TU QU’IL EST TELLEMENT PETIT QUE CA LE REND MIGNON ET QU’IL EST TELLEMENT MIGNON QUE TOUT LE MONDE L’APELLE UN CHIBI KAWAII ???
Saphir : ….
Edward : Bah, qu’est-ce qu’elle a ? Oo
Barça : Tu vas voir ! UU
Edward : T’es qui, toi ?
Barça : Son p’tit frangin Et si je serais toi, je m’imiterai en mettant des boules de coton dans tes oreilles !
Edward : Hah…. Et pourquoi cela, Monsieur-je sais-tout ? TT
Saphir : TU VAS CONTINUER LONGTEMPS A M’INTERROMPRE TOUTES LES CINQ SECONDES, ESPECE DE NAIN DE JARDIN DEPOTELE TELLEMENT PETIT QUE MIS DANS UN JARDIN, ON LE VERRAIT MEME PAS PARCE QU’IL ETAIT TELLEMENT PETIT QU’UN OISEAU L’A CONFONDU AVEC UN VERS DE TERRE ET L’A EMPORTE ???
Barça (enlève ses boules de coton): Pour ça ! XD
Edward : … Aieuhhh, mes oreilles ! TT
BREF ! Notre bel héro se dirigea en la direction d’où provenait ces… charmantes… voix et eut le choc de sa vie : le plus bel homme qu’il ait jamais vu ! Car oui, Edward Elric était gay et seule une personne le savait c’est-à-dire… Lui-même ! Enfin ! Ce bel homme avait de magnifique cheveux noirs et des yeux aussi purs et sombres que des onyx. Sa peau pâle témoignait de son haut rang et vu comme l’ainée – Riza – le collait en lançant des mamours à gauche à droite… Edward se douta qu’il devait s’agir du fameux prince Roy Mustang ! Dépité, son cœur serré, il s’apprêta à faire demi-tour lorsqu’une tête aux longs cheveux d’un or foncé et aux doux yeux gris-or attira son attention. Edward cligna des yeux plusieurs fois pour s’assurer que sa vie ne lui jouaient pas des tours : c’était lui et pourtant… Les deux jeunes filles ne semblaient pas l’avoir reconnu alors Edward se disait qu’il ne pouvait s’air de… Et pourtant, il fallait reconnaître que les deux jeunes femmes n’avaient aucune jugeote et ne serait même pas capable de reconnaitre une crotte juste devant leurs nez ! Oui, c’est frais… Parfaitement ! Comme hypnotisé, Edward s’avança lentement, ne parvenant pas à croire ce que ses yeux voyaient, alors que des milliers d’images et de souvenirs affluaient dans sa tête.
-« Edward ? Qu’est-ce que tu fous là ? Je croyais que Père t’avait demandé d’aller au marché ? » Demanda Riza, dont les yeux s’étaient plissés dangereusement mais dont Edward ne s’occupa guère puisqu’il continua son chemin.
Pour le bien de l’histoire…. Tous se retournèrent face à cette phrase prononcée et Roy eut un arrête du cœur ! Il était magnifique ce jeune avec ses doux yeux ors – bien que ceux-ci étaient écarquillés de surprise pour il ne savait quelle raison – et que... Et Blablabla ! La personne qui nous intéresse est la personne des pensées d’Edo... La seconde ! Pas la première ! Cette… Personne – qui n’était autre qu’Al – écarquilla ses yeux aussi – preuve de ressemblance numéro trois mil soixante-cinq et c’est d’un n’importe quoi, je vous l’accorde... – et prononça un mot – « … Nii-san… » – qui figea tout le monde de stupeur… Y compris les deux têtes blondes dont les yeux effrayés démontraient qu’elles avaient compris cette équation suivante : Al est serviteur perso du prince héritier PLUS le Nabot des Cendres qui est le frangin d’Al PLUS s’il raconte tout les mauvais traitements et les humiliations subies au cours des années EST EGAL A de graves problèmes de justice pour les Hakuro ET un mariage annulé ! Vous avez vu un peu comment il est très facile d’établir de la chimie dans un conte parodié ? Et là, tout le monde applaudit l’auteur et son talent en chimie ! Oui, merci… Moi aussi je vous aime !
Alphonse : C’est du n’importe quoi… TT
Saphir : Tiens, d’habitude, c’est ton frangin qui m’interrompt !
Alphonse : La hache derrière ton dos l’a convaincu de se taire….
Saphir : … Je me disais aussi !
Edo confirma les paroles de son frère d’un simple acquiescement de tête et les deux frères, maintenant retrouvés, s’élancèrent à corps perdu dans les bras l’un de l’autre, laissant les larmes coulées sur leurs visages. Horrifiées, les deux filles se regardaient, se demandant comment elles pourraient faire pour que le Nabot ne parle pas de ce qu’elles et son père lui ont fait. Winry eut alors une superbe idée diabolique lorsqu’Alphonse s’écria :
-« Ni… Nii-san ! Ta jambe… Et ton bras ! Des automails ? Mais… Comment ? » Demanda-t-il inquiet, alors que les yeux de son frère plus âgés s’écarquillèrent de terreur en se remémorant les événements qui l’avait conduit à posséder des membres mécaniques.
-« Comment, Alphonse, tu ne le sais pas ? » Commença Winry, un sourire moqueur et, sous le regard surpris d’Alphonse et terrifié d’Edward, elle reprit « Ton… cher Grand frère a essayé de ramener votre mère à la vie ! »
-« Nii-san… Elle ment, pas vrai ? Tu n’as pas fait ça ? » Demanda Al, horrifié… Plus par le fait qu’il aurait pu mourir que par l’acte en lui-même.
Comme pour confirmer les dires de la blonde aux yeux bleus, Edward baissa la tête, laissant ses douces mèches d’or caché son visage rougis de larmes – de honte cette fois – et s’enfuit à toute jambes, le cœur déchiré à l’idée que son frère – et le prince par la même occasion (Maes… Il s’en fout soi dit en passant !) – puisse le détester d’avoir commis l’interdit en transmutant leur propre mère !
-« Mon prince, veuillez nous pardonner d’un tel secret ! Vous voyez, nous avions eu pitié de lui suite à la perte de ses membres et pensions pouvoir le tenir ainsi mais malheureusement, comme vous avez pu le constater il ne remplit pas ses tâches cette espèce de… souillon ! » Fit Riza, d’un air faussement dramatique.
-« Ne vous inquiétez pas, Baronne Hakuro… Vous êtes hors de cause mais convenez qu’un tel crime, aussi inhumain et dégradant, ne peut rester impuni ! Aussi, j’ordonnerai à quelques hommes de l’emmener tôt demain matin afin d ‘être… Juger comme il se doit ! » Répondit simplement le prince Roy, une certaine lueur dans le regard.
Alphonse, pétrifié, voulut objecter une telle décision mais Maes le tint à l’épaule, procédant ensuite à cligner de l’œil d’un sourire complice, reportant ensuite son regard sur son ami Roy. Alphonse, surpris, regarda dans la même direction et comprit ce que son ami lui avait dit sans parole. Le coup de foudre du prince pour son frère se voyait on ne peut mieux – il fallait être idiot pour ne pas le voir et…. Non, Riza, Winry, rangez vor armes, c’est le script ! – et Alphonse savait une chose que ni Maes ni Roy savait : le goût prononcé de son frère pour le feu et vu que Roy pratiquait l’alchimie du feu… Ca ne pouvait que coller entre eux !
Riza et Winry, elles, sourirent intérieurement. Non seulement elles allaient pouvoir désormais se débarrasser du nabot blond pour de bon mais en plus… Elles se mettaient la famille royale dans leur poche ! C’étaient leur… père bien aimé qui allait être content !
Alphonse : Excuse-moi de t’interrompre, Saphir-Nee-san…
Saphir : Kyaaaa !!! J’aime quand il m’appelle comme ça X3
Alphonse (grosse goutte manga sur la tempe) : … Hum… Et bien voilà, je voulais savoir… Ca ne ressemble en rien au conte original !
Saphir : Je sais mais… J’aime l’originalité !
Edward (de trèèèès très loin) : … C’est surtout parce que tu es timbrée !
Saphir (sort sa gâche d’on-ne-sait-où): Il a dit quoi, la crevette ?
Edward (court se cacher derrière son beau brun ténébreux qui se fout de sa gueule soit dit en passant) : …
Alphonse (se parle à lui-même) : Je me demande bien d’où elle la sort, cette hache.
Le lendemain matin, comme prévu, Les gardes royaux vinrent emmener le jeune blond qui avait le regard sombre et les yeux rougis d’avoir tant pleuré pour savoir ce qu’il allait lui arriver mais surtout car il était persuadé que son frère et le beau prince le haïssaient à en être dégoûtés ! Arrivé au palais – ce qui étonna Edward, persuadé d’être emmené d’abord au cachot avant son jugement – il fut conduit dans une chambre où on lui fit prendre un bon bain bien moussant à sa senteur favorite et où il fut ensuite habillé et coiffé richement. Lorsque l’un des serviteurs lui dit d’attendre le garde qui l’emmènerait autre part, Edward se demanda un instant où il était tombé, s’ils étaient devenus fous ou bien s’il s’agissait d’une coutume bizarre des Xingiens pour leurs futurs condamnés à mort ! Le garde arrive enfin et dirigea Edward dans un long labyrinthe de couloirs et d’escaliers pour parvenir enfin à une selle… Que dis-je… A La salle : la salle du trône. Edward déglutit mais prit son courage à deux mains et lorsqu’il se retrouva sous toutes une assistance aux visages bienveillants et devant un Roi et une Reine radieux de bonheur suite à son arrivé… Il fut bien vite désarmé de tout courage et se redemanda encore une fois où il était tombé ! Il vit alors le prince, une sourire radieux aux lèvres et encore plus beau que jamais, s’avancer vers lui. Il rougit comme une énorme tomate et comme le tout petit puceau qu’il était !

Edward : C’est fois, ça suffit ! Au diable, ta hache et ton regard de psychopathe ! Je ne marche plus et… QUI DIS-TU QU’IL EST TELLEMENT PETIT QU’IL EST ENCORE PUCEAU A DIX-HUIT ANS PARCE QUE TOUS LES ESSAIS DE RAPPORT SE SONT AVERES ETRE UN ECHEC TOTAL PARC’IL ETAIT TELLEMENT PETIT QU’ON TROUVAIT PAS LE TROU ???
Saphir (rouge tomate) : ... C’est… Hum… Frais... O///O
Barça (ricane dans coin) : Muahahahaha…
Alphonse (rouge de honte) : Nii-san...
Edward (rouge de gêne) : Pardon… C’est automatique chez moi d’interagir en fonction de ce qu’on me dit….
-« Prince… Je… Quelle est la signification de tout ceci... Je… » Bégaya Edward, rouge, ne parvenant même pas à regarder le prince dans les yeux.
-« C’est très simple Edward Elric… Pardon, je veux dire, prince Edward. » Sourit doucement Roy, trouvant le petit blond vraiment adorable avec son bégaiement et ses joues rouges « Je ne sais si cela est romantique mais c’est hélas le seul moyen que j’ai trouvé pour vous amenez ici, devant cette assemblée et vous demandez de bien vouloir m’épouser. » Termina-t-il ensuite, prenant les mains d’Edward dans les siennes.
Edward surpris, resta un bon moment sans pouvoir répondre quoi que ce soit puis, d’un coup, ses yeux s’embuèrent de larmes douloureuses et non de joie tout en répondant : « Prince… Comment… Comment osez-vous vous moquez de moi et de mes sentiments ? Vous ne m’aimez pas, je ne le crois pas… Comment peut-on aimer un être mi humain mi machine… Un monstre qui a transmuté sa propre mère à seulement dix ans… Je vous en prie… Qu’on en finisse immédiatement de me torturer… Je… » Il ne put continuer bien longtemps sous les caresses sur ses joues douces.
-« Edward, ne te méprend pas ! Cela n’est pas de la moquerie : mes sentiments pour toi, ainsi que ma demande de mariage, sont tout aussi vrais et sincères que la sincérité de tes sentiments que je peux lire en ce moment même dans tes yeux magnifiques. » Sourit Roy, séchant les larmes de l’adolescent blond.
Les joues d’Edward se colorèrent d’un magnifique ton rouge lorsque les yeux et le sourire du prince lui confirmèrent les sentiments sincères envers lui. Tournant un regard sur l’assemblée présente, il vit le Roi et la Reine, Sigu et Izumi, lui sourire d’une façon bienveillante, et ensuite le doux sourire d’Al qui lui confirma que rien de tout ceci n’était une blague et que l’heure de son bonheur était enfin arrivée.
-« Prince… » Murmura Edward, acceptant son nouveau bonheur avec énormément de joie.
-« Appelle-moi Roy, mon ange. » Sourit Roy, ayant déjà compris ce que le bond s’apprêtait à lui révéler, le visage rayonnant de bonheur de voir son amour ainsi partagé.
-« … Roy… Je le veux… » Sourit amoureusement Edward
Leurs lèvres scellèrent alors leur union nouvelle, sous les applaudissements radieux de toute l’assemblée présente. Quant aux Hakuro ? Ils furent arrêtés pour avoir déposséder illégalement les frères Elric de leurs biens, avoir maltraité et humilié l’aîné des années durant – Le Roi et la Reine eurent énormément de mal à empêcher leur fils de les cramer pour ça – et avoir vendu le cadet comme esclave. Ils furent ensuite envoyé dans différents endroits pour purger leur peine. Hakuro, lui, fut mis en prison où il fut tué trois jours plus tard par son compagnon de cellule : un fou nommé Kimbley qui disparut mystérieusement le lendemain, après avoir été interrogé par le commandant de l’armée royale, un grand type aux dents de requin et aux lunettes noirs nommé Greed. Et quant à Riza et Winry, elles finirent leurs vies en tant que servantes du prince Edward et du Baron Alphonse.

FIN

Edward : Elle était très guimauve, cette fin.
Saphir : Qu’est-ce que t’as ENCORE à râler, toi ?
Edward : Rien… C’est juste que… Je trouve que ça ne me colle pas d’être si sentimentale comme ça !
Roy : Moi, je te trouve trop mignon, Amour.
Saphir : Tiens, t’étais passé où, toi, durant toute la lecture du conte ? Oo
Roy : Je suis allé aux toilettes !
Edward : Et t’as mis toute la lecture du conte pour y allez, faire ce que tu avais à faire, et revenir ? TT
Roy : … Je me suis perdu pour y allez et idem pour en revenir…
Saphir et Edward : Hah ? TT’

NOTES:

C'est la Fic la plus triste que je n'ai jamais lue..................... Crying or Very sad

Snif , moi jla trouve bien

Mais sit u veux mon avis d'experte en fanfics et yaoi , le meilleure des meilleur c'est " Yelow " cette fanfic est tout simplement magnifique !! enfin moi jla trouve superbe tient j'vais la publier !!